J'ai pas choisi d'être blanc

250,00 €

Portrait réalisé aux pastels à l’huile sur papier au format 21×14.8 cm avec de beaux empâtements.

Dans cette œuvre, je poursuis mon exploration de l’identité masculine à travers un regard critique et introspectif. Le portrait représente un homme blanc, figé dans une attitude à la fois défensive et perplexe. Son expression trahit une forme d’incompréhension mêlée de gêne, comme s’il cherchait à se justifier.

Le titre, « J’ai pas choisi d’être blanc », fait écho à une phrase souvent utilisée pour éluder la question des privilèges raciaux. En la reprenant, je cherche à interroger cette posture victimaire adoptée par certains hommes blancs face aux discussions sur le racisme systémique. L’œuvre ne pointe pas du doigt un individu, mais met en lumière un mécanisme social : celui du refus de remise en question.

À travers le geste du pastel à l’huile, j’ai voulu rendre palpable la tension intérieure du modèle — une tension entre culpabilité, déni et inconfort. Ce visage devient le reflet d’un malaise collectif, celui d’une identité dominante qui peine à se penser autrement que neutre.

Portrait réalisé aux pastels à l’huile sur papier au format 21×14.8 cm avec de beaux empâtements.

Dans cette œuvre, je poursuis mon exploration de l’identité masculine à travers un regard critique et introspectif. Le portrait représente un homme blanc, figé dans une attitude à la fois défensive et perplexe. Son expression trahit une forme d’incompréhension mêlée de gêne, comme s’il cherchait à se justifier.

Le titre, « J’ai pas choisi d’être blanc », fait écho à une phrase souvent utilisée pour éluder la question des privilèges raciaux. En la reprenant, je cherche à interroger cette posture victimaire adoptée par certains hommes blancs face aux discussions sur le racisme systémique. L’œuvre ne pointe pas du doigt un individu, mais met en lumière un mécanisme social : celui du refus de remise en question.

À travers le geste du pastel à l’huile, j’ai voulu rendre palpable la tension intérieure du modèle — une tension entre culpabilité, déni et inconfort. Ce visage devient le reflet d’un malaise collectif, celui d’une identité dominante qui peine à se penser autrement que neutre.