Le rose c'est que pour les pédés

250,00 €

"𝑳𝒆 𝒓𝒐𝒔𝒆 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒆́𝒅𝒆́𝒔" fait partie de ma série consacrée à l’identité masculine. Avec ce titre volontairement provocateur, je me moque de cette vieille idée selon laquelle certaines couleurs – et particulièrement le rose – seraient « interdites » aux hommes sous peine de perdre leur virilité. À croire que le simple fait de porter du rose transformerait un homme en « pédé »…

Cette peur absurde des masculinistes révèle en réalité la fragilité d’une conception rigide de la masculinité. Le rose, lui, n’a rien demandé à personne : c’est une couleur vibrante, puissante et magnifique. Les gays auraient bien raison de se l’approprier !

Dans cette œuvre, j’ai voulu que l’énergie des couleurs s’impose d’elle-même. Réalisée aux pastels à l’huile et à la peinture à l’huile sur papier (21 x 14,8 cm), elle se distingue par ses empâtements généreux et sa palette éclatante, où le rose dialogue avec des teintes vives pour donner vie à un portrait masculin traversé par les contradictions, les clichés et les libertés d’une identité en mouvement.


"𝑳𝒆 𝒓𝒐𝒔𝒆 𝒄’𝒆𝒔𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒆́𝒅𝒆́𝒔" fait partie de ma série consacrée à l’identité masculine. Avec ce titre volontairement provocateur, je me moque de cette vieille idée selon laquelle certaines couleurs – et particulièrement le rose – seraient « interdites » aux hommes sous peine de perdre leur virilité. À croire que le simple fait de porter du rose transformerait un homme en « pédé »…

Cette peur absurde des masculinistes révèle en réalité la fragilité d’une conception rigide de la masculinité. Le rose, lui, n’a rien demandé à personne : c’est une couleur vibrante, puissante et magnifique. Les gays auraient bien raison de se l’approprier !

Dans cette œuvre, j’ai voulu que l’énergie des couleurs s’impose d’elle-même. Réalisée aux pastels à l’huile et à la peinture à l’huile sur papier (21 x 14,8 cm), elle se distingue par ses empâtements généreux et sa palette éclatante, où le rose dialogue avec des teintes vives pour donner vie à un portrait masculin traversé par les contradictions, les clichés et les libertés d’une identité en mouvement.