
































Draven est allemand et pute
Huile sur papier – 21 x 29,7 cm (A4)
Encadré avec passe-partout – format final 30 x 40 cm
Œuvre originale et unique signée G. Carta, 2025
Draven ne s’excuse pas. Il s’impose.
Son regard fixe, distant, nous confronte à notre propre malaise. À la frontière entre virilité et vulnérabilité, ce portrait peint à l’huile révèle des volumes puissants grâce à de riches empâtements. La matière s'accumule comme une peau rugueuse, marquée, vivante. L’huile devient chair.
Le titre – cru, frontal, dérangeant – fonctionne comme une claque. Il évoque la projection sociale, les fantasmes imposés, la catégorisation brutale du masculin. Il n’y a ni pudeur, ni détour : seulement un face-à-face avec un homme qu’on ne peut pas étiqueter sans se trahir.
Encadrée dans un format 30 x 40 cm, cette œuvre unique s’inscrit dans ma recherche sur l’identité, le regard porté sur le corps masculin, et la tension constante entre exposition et jugement.
Huile sur papier – 21 x 29,7 cm (A4)
Encadré avec passe-partout – format final 30 x 40 cm
Œuvre originale et unique signée G. Carta, 2025
Draven ne s’excuse pas. Il s’impose.
Son regard fixe, distant, nous confronte à notre propre malaise. À la frontière entre virilité et vulnérabilité, ce portrait peint à l’huile révèle des volumes puissants grâce à de riches empâtements. La matière s'accumule comme une peau rugueuse, marquée, vivante. L’huile devient chair.
Le titre – cru, frontal, dérangeant – fonctionne comme une claque. Il évoque la projection sociale, les fantasmes imposés, la catégorisation brutale du masculin. Il n’y a ni pudeur, ni détour : seulement un face-à-face avec un homme qu’on ne peut pas étiqueter sans se trahir.
Encadrée dans un format 30 x 40 cm, cette œuvre unique s’inscrit dans ma recherche sur l’identité, le regard porté sur le corps masculin, et la tension constante entre exposition et jugement.
Huile sur papier – 21 x 29,7 cm (A4)
Encadré avec passe-partout – format final 30 x 40 cm
Œuvre originale et unique signée G. Carta, 2025
Draven ne s’excuse pas. Il s’impose.
Son regard fixe, distant, nous confronte à notre propre malaise. À la frontière entre virilité et vulnérabilité, ce portrait peint à l’huile révèle des volumes puissants grâce à de riches empâtements. La matière s'accumule comme une peau rugueuse, marquée, vivante. L’huile devient chair.
Le titre – cru, frontal, dérangeant – fonctionne comme une claque. Il évoque la projection sociale, les fantasmes imposés, la catégorisation brutale du masculin. Il n’y a ni pudeur, ni détour : seulement un face-à-face avec un homme qu’on ne peut pas étiqueter sans se trahir.
Encadrée dans un format 30 x 40 cm, cette œuvre unique s’inscrit dans ma recherche sur l’identité, le regard porté sur le corps masculin, et la tension constante entre exposition et jugement.